DEFENDONS LE DROIT SYNDICAL, LA LIBRE EXPRESSION CGT

RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN

Lundi 11 mars à 13h30 Devant le Tribunal Administratif, 53 avenue Flaubert à Rouen

Après la loi Travail et les ordonnances Macron qui suppriment des milliers de représentants du personnel du privé et alors que le gouvernement s’apprête à faire voter la suppression des CHSCT dans la fonction publique via la loi dite de « Transformation de la fonction publique », et accentue sa remise en cause des droits syndicaux, le Ministère du Travail suivi par la Préfecture de Normandie prétendent décider qui aurait le droit de parler au nom de la CGT.

Ainsi, à la demande du Directeur Général du Travail, la DIRECCTE de Normandie puis la Préfète ont respectivement pris la décision d’exclure notre camarade Gérald LE CORRE, mandaté par la CGT, de l’Observatoire du dialogue social puis du Comité Régional d’Orientation des Conditions de Travail (CROCT).

Ils remettent en cause le droit, prévu par les conventions de l’OIT, des organisations syndicales de choisir librement leurs représentants sans que l’Etat s’immisce dans cette désignation.

Ils ne feront pas taire la CGT !

Ce qui dérange le Ministère du travail, c’est la dénonciation constante par l’UD CGT 76, notamment dans la presse, des carences de l’Etat et des employeurs concernant la santé des travailleurs et des travailleuses qui continuent à perdre leur vie à la gagner.

La CGT a saisi en urgence le Tribunal Administratif pour obtenir la suspension immédiate de ces deux décisions.
Le 11 mars les délégations CGT affirmerons la libre désignation par la CGT de ses représentants.
Un rassemblement pour le respect des libertés syndicales est organisé à l’occasion de l’audience ! Soyons Nombreux

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